jeudi 17 mars 2016

Sur la souveraineté de petits Etats, tels que la Suisse et le Liban.

(source : L'Orient Le Jour)

En collaboration avec l'ambassade de Suisse au Liban, le département d'histoire de la faculté des lettres et des sciences humaines de l'Université Saint-Joseph a organisé mardi soir une table ronde sur la problématique de la souveraineté dans le cadre des petits États.
M. François Barras, ambassadeur de Suisse, a ouvert la discussion en soulignant l'importance de la coopération et de l'échange d'expériences entre les petits États.

Mme Joëlle Kuntz, journaliste et géographe, présentée par M. Barras comme la spécialiste de la psychologie des petits États, a retracé le parcours du petit État suisse vers la souveraineté. Elle a partagé avec l'assistance les clés de la réussite suisse.
Mais qu'est-ce qu'un petit État ? Selon Joëlle Kuntz, « c'est un État qui n'a pas su ou n'a pas voulu être grand », et le génie de ces petits États « est de maintenir une dose de souveraineté dans un environnement en général assez absorbant, quand ce n'est pas occupant ».
Ces petits États, à l'image du Liban et de la Suisse, partagent les mêmes handicaps. Ils ne disposent d'aucune ressource naturelle pouvant faire d'eux des acteurs majeurs et indispensables dans les relations internationales. En revanche, comme le souligne l'ambassadeur de Suisse, ces deux pays disposent d'une richesse qui est le moteur de leur développement, en l'occurrence « le capital humain ».

  • La suite de cet article, qui établit un parallèle entre la Suisse et le Liban (nommé autrefois la petite Suisse du Moyen-Orient, avant que l'Israël ne réduise ses prétentions à celles de petit vassal auxilliaire), se trouve sur le site de L'Orient Le Jour.


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