vendredi 7 mars 2014

Les Gaulois et l'alphabet grec


Tous les
documents
 qui nous sont
 parvenus des Gaulois
 sont écrits dans l'alphabet grec.
 Cependant, les Gaulois répugnaient
 à écrire les choses sacrées et n'ont produit
 que des effets de commerce en plus
 de quelques rares dédicaces et
 quelques épitaphes : aucun
 ouvrage de philosophie,
 de littérature ou de
 sciences n'est
 parvenu
 jusqu'à
 nous sous
 une forme écrite.
 Pour les Gaulois adeptes
 de la métempsychose, le savoir
 vivant ne peut se transmettre qu'oralement.


Nous pouvons nous aussi écrire des mots "français" en utilisant l'alphabet grec, comme le prouve cet exemple : Νους πουβονς νους αυσσι έκριρε δες μοτσ φρανςαισ εν υτιλισαντ λ'αλφαβητ γρηκ, κομμε λε προυνε σητ εξεμπλε.

Si vous avez «un bon moment pour vous»
pour apprendre l'alphabet grec,
cliquez ici,
 



~.~


jeudi 6 mars 2014

Même pas mort !




Jean-Philippe Jaworski

 « Durant la Guerre des Sangliers, Sacrovèse, le père de Bellovèse, a été tué par le haut-roi, son beau-frère. Mais comme Ambigat ne peut se déshonorer en tuant aussi sa sœur et ses neveux, il préfère les envoyer en exil dans le fin fond du royaume biturige. Quelques années plus tard, se souvenant de leur existence, Ambigat envoie Bellovèse et son frère Ségovèse à la guerre contre les Ambrones, espérant y voir périr ses neveux. Cependant, tout ne se passera pas comme prévu...»

Ici, l'avis de A.C. Dehaene à qui l'on a piqué cette introduction...

 

Lire aussi l'article de la FNAC où le titre est disponible :

http://www.fnac.com/Meme-pas-mort-de-Jean-Philippe-Jaworski-L-imagination-Celte/cp20997/w-4 



mardi 4 mars 2014

Sur les Galicies, territoires gaulois.

La Galicie est une région bien connue d'Espagne où l'on retrouve une culture particulièrement gauloise, Galicie dont le nom est à rapprocher avec celui de Gaules.

On retrouve dans le monde d'autres régions gauloises ou galloises, voire galiciennes, jusqu'en Turquie notemment (en Galatie), où nos ancêtres bituriges ont poussé après avoir mis Rome à sac et pillé Delphes.


La Galicie qui nous intéresse aujourd'hui se trouve actuellement partagée entre la Pologne et l'Ukraine. Elle n'est pas trop mal documentée par Wikipédia pour ce qui nous concerne (http://fr.wikipedia.org/wiki/Galicie).

On y retrouve en particulier la ville de Cracovie, dont nous avons vu dans un article précédent, « Sur Wotan », que ce nom pouvait avoir en commun avec celui de Gergovie ce que les Pols (polonais) pouvaient partager avec les Gauls (Gaulois).

C'est ici que nous lancerons l'antienne demeurée célèbre :
« Non non non Biturige n'est pas mort, (bis)
« Car il blogue encore, car il blogue encore.»

Les origines chrétiennes de notre pays

LES ORIGINES CHRETIENNES de notre pays remontent à l'Antiquité, bien avant que les Francs n'envahissent notre territoire des Gaules où vivaient nos ancêtres devenus Gallo-romains (les franglais d'aujourd'hui) quand ils furent soumis aux lois de Rome. Ces gallo-romains interdisaient tous les cultes gaulois, notemment le druidisme, et imposèrent les cultes romains. Quant un siècle plus tard apparut le christianisme, et que Rome s'en déclara l'ennemi, les Gaulois embrassèrent facilement la religion chrétienne qui avait épousé tous lieux et attributs des rites païens d'avant la conquête romaine; on le voit aujourd'hui encore lorsqu'au bout d'une longue ligne droite de campagne, dite ancienne voie romaine (alors qu'elles remontent à la préhistoire) on apperçoit un clocher dans l'alignement de cette route, là où se dressait auparavant un autel généralement dédié aux Dieux du commerce et des voyageurs (en général, à la croisée des chemins) . Il se trouve que Rome ne voulait avoir alors qu'un seul interlocuteur par peuple gaulois, une technique bien connue de domination, qui se traduit aujourd'hui dans la démocratie à l'anglaise par l'élection de députés ou de représentants ayant tout pouvoir de négocier ce que bon leur semble. Or, sans aucune exception notable, cet interlocuteur unique de Rome se trouvait être chez nous l'EVÊQUE, et de nos jours encore, il y a sur notre territoire un Evêque, un évêché et une cathédrale par ancien peuple gaulois, avec un statut particulier pour Lyon, capitale des Gaules, dont l'Evêque était le "Primat des Gaules", de même que le Pape, le Primat de la chétienté catholique est l'Evêque de Rome, capitale de la chrétienté après qu'elle eut vaincu, en toute Justice Divine, la Rome païenne. Hé bien, mes bien chers frères et compatriotes, il ne nous reste plus qu'à nous résigner à vaincre l'Empire anglo-américain et convertir à nos raisons ces franglais égarés qui prétendent gouverner notre pays au nom de la nouvelle rome sise au-delà des mers.